Suite la soirée à Killarney

Le lendemain matin, nous nous levons aux aurores (8h30), je fais la queue pour les douches puis nous nous dirigeons vers le Centra pour prendre un petit déjeuner avant de sauter dans un bus pour ma part et visiter le parc national de Killarney pour Claire.

Après le spectacle, Claire et moi avons tenté d’aller discuter avec les danseurs mais voilà… pour une fois, nous étions timides devant tant de splendeur et de talent… Nous les avons regardés, bouche bée d’où aucun mot ne voulait sortir. Qu’aurions-nous pu leur dire ?

Alors nous avons laissé les minutes défiler et les danseurs s’en aller. Puis nous avons tournoyé sur le parking, riant joyeusement comme deux enfants fêtant Noêl pour la première fois. Et c’était peut-être ça, Noêl avant Noêl, les cadeaux avant l’heure, de la joie dans nos cœurs.

Nous dansions, nous festoyons, et les gens nous regardaient, partagés entre rire de notre joie ou s’en étonner et en râler. Nous marchions enfin, dansions vers notre hôtel quand une voiture emplie de jeunes a décidé de faire de nous sa cible … et nous a donc arrosé à coup de pistolet à eau alors que nous cherchions comment décrire la sensation que nous procurait un smoothie.

Et nous avons finalement trouvé, un smoothie, c’est comme un mec qui nous prend dans ses bras mais sans aucune arrière pensée. Ca nous remplit de douceur, de chaleur et nous en redemandons toujours car ça ne fera jamais aucun mal ! C’est également comme se jeter dans un lit couvert de chamallows, même si aucune de nous n’a testé.

Bon, arrivées en ville, nous nous sommes mis en quête d’un magasin ouvert afin d’acheter un carrot cake pour que la soirée soit 100 fois plus que parfaite. Nous n’en avons malheureusement pas trouvé et nous sommes donc dirigées vers le seul fish and chips ouvert afin de rassasier nos estomacs qui criaient famine, non sans être passées devant des pubs ouverts auparavant et nous être fait hum reluquées par des dizaines d’yeux... des filles venant de voir Riverdance sont toujours désirables. Claire ayant décidé que sa boîte de spaghettis lui serait suffisante, je suis la seule à commander et nous rentrons à l’hostel, où Claire sera contrainte de manger ses spaghettis froids, mais gentille comme je suis, je partage mes frites au vinaigre avec elle J .

Nous allons finalement gentiment nous coucher, sans croiser personne, dans une chambre vide puisque nos colocataires ne sont pas rentré(e)s.

Comments

[claire /rave]

hihi trop bonnes soirée !!!
je dirais bien à refaire mes des choses comme ça, ça ne se vie qu'une fois et on est pas prêts de l'oublier, take care and god bless u (je me mets à la coutume locale) ma petite sophie ;)